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Titre d’origine: « Patrick Dewaere, l’écorché : chronique d’une enfance bafouée »
Il y a 35 ans, le 16 juillet 1982, l’acteur emblématique des années 70, se donnait la mort. Dans une nouvelle biographie publiée chez Michel Lafon, le journaliste Christophe Carrière, tente d’expliquer les raisons qui ont poussé le comédien à se suicider en pleine gloire.
Michel Onfray répond à la polémique provoquée par ses attaques contre Cohn-Bendit le pédophile au siècle dernier, BHL le béliciste, Pierre Bergé le locataire d’utérus d’autrui , etc
« Je pense qu’une société qui ne considère pas la protection des enfants comme une priorité absolue est perdue. Qu’elle passe à côté de l’essentiel. Qu’elle est décadente et a pris le chemin du déclin. »
Le scandale du sexe et de la pornographie dans les livres scolaires obligatoires s’étend dans le silence des parents d’élèves, des associations de parents et des autorités religieuses. Il touche tant les écoles publiques que l’enseignement catholique.
Les « droits sexuels » sont une nouvelle idéologie à la mode, portée par différentes instances internationales en matière de santé, et en particulier, en matière de santé des mineurs. Dans cet essai radical, Ariane Bilheran propose, sans exhaustivité, une analyse des dérives déjà existantes en France, au travers de » l’éducation à la sexualité » ainsi qu’une étude littérale de nombreux passages de la « déclaration des droits sexuels » qui soutient une telle idéologie pédophile, sous couvert de lutter pour les droits des homosexuels, les droits des femmes et les droits à la santé. La philosophe et psychologue démontre, dans la lignée de ses travaux approfondis sur la psychologie du pouvoir, combien la perversion est toujours l’adjuvante de la paranoïa dans l’avènement du totalitarisme.
Les cobayes de la CIA est un film historique, accusateur, et documenté sur la face occulte de ce qui s’est passé dans les années 50, 60 et 70 aux Etats-Unis. Sous prétexte de recherches sur le cerveau humain, des dizaines de milliers de personnes vont servir de cobayes non volontaires et devenir des de laboratoires au service d’un programme de recherche top secret de la CIA. Ces cobayes étaient recrutés parmi les indigents, les déshérités, dans les prisons, les hôpitaux, les casernes et même les orphelinats. But de la manœuvre : effacer la mémoire, trouver un moyen pour faire avouer un ennemi, fabriquer une machine humaine prête à tuer contre son gré.
Par Marie-Christine Gryson-Dejehansart.
Le ministère des Familles de l’Enfance et des Droits des femmes vient d’annoncer la prochaine publication d’une fiche sur le site du ministère de la Justice, visant à proscrire l’utilisation du concept idéologique dénommé « syndrome d’aliénation parentale » (SAP) ou « aliénation Parentale » (AP). Depuis une dizaine d’années, de nombreux spécialistes de l’enfance et du psycho-traumatisme n’ont eu de cesse d’en dénoncer la dangerosité au regard de la protection des enfants. Ils déplorent également son introduction abusive dans les milieux de la justice par le biais de son enseignement dans certaines formations de professionnels et en particulier à l’École nationale de la magistrature.
Lorsque deux espèces de pieds nickelés, férus de bio-chimie, décident de concevoir LA potion chamanique idéale, et fabriquent par erreur une mixture donnant accès à la mémoire absolue, ils sont, tout d’abord, affreusement déçus. Mais la jeunesse rebondissant souvent en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire, et surtout le réfléchir, ils décident finalement, après s’être un peu tâtés (très peu…) d’aller tenter leur chance chez Jean-Pierre Foucault, au célèbre jeu télévisé du samedi soir. Un million d’euros à la clef, ce n’est quand même pas rien. De quoi court-circuiter les neurones les plus désintéressés, au moins pour un bref moment.
Lorsque deux espèces de pieds nickelés, férus de bio-chimie, décident de concevoir LA potion chamanique idéale, et fabriquent par erreur une mixture donnant accès à la mémoire absolue, ils sont, tout d’abord, affreusement déçus. Mais la jeunesse rebondissant souvent en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire, et surtout le réfléchir, ils décident finalement, après s’être un peu tâtés (très peu…) d’aller tenter leur chance chez Jean-Pierre Foucault, au célèbre jeu télévisé du samedi soir. Un million d’euros à la clef, ce n’est quand même pas rien. De quoi court-circuiter les neurones les plus désintéressés, au moins pour un bref moment.
Extrait du chapitre 9 (industrie du divertissement) du livre MK.
(p. 562-563)
L’actrice Angelina Jolie a déclaré avoir été « très sexualisée dès l’âge de 4 ans à l’école maternelle (…) J’avais inventé un jeux où j’embrassais les garçons… Ensuite nous allions plus loin et nous enlevions nos vêtements. J’avais alors un tas d’ennuis ! » (voir cet article) Pour beaucoup de professionnels de la petite enfance, une attitude hypersexualisée chez un jeune enfant est considérée comme un signe d’abus sexuels présumés. Angelina Jolie, qui semble elle aussi être psychologiquement très perturbée, a admis avoir goûté à toutes les drogues, mais elle semble avoir un goût particulier pour… le sang. Lors de son premier mariage avec Johnny Lee Miller, elle avait écrit le nom de son mari sur un tee-shirt blanc avec son sang. Lorsqu’elle était mariée avec Billy Bob Thornton, ils portaient tous les deux autour du cou une fiole contenant le sang de l’autre. Sa biographie révèle également que toute petite, elle avait une fascination pour les couteaux, qu’elle les collectionnait et qu’à l’adolescence, son mal-être s’est manifesté entre autre par de la scarification. Une biographie révèle : « Certains vont faire les boutiques, moi je me scarifie. Lorsque j’ai commencé à avoir des relations sexuelles, le sexe ne m’apportait pas assez, mes émotions n’étaient pas assez fortes, quelque chose voulait sortir… Un jour, en voulant ressentir une fusion encore plus intense, j’ai attrapé un couteau et j’ai tailladé mon copain… puis il m’a aussi tailladé. C’était vraiment quelqu’un de bien, un gentil gars qui n’était pas du genre menaçant ou violent. Nous avons eu cet échange particulier… Nous étions couvert de sang et je sentais mon coeur battre la chamade. »
Extraits du chapitre 2 du livre MK intitulé : « Les Racines des Abus Rituels Traumatiques et du Contrôle Mental » – sous-chapitre : « Magie sexuelle et sociétés secrètes ». (p.99)