Cette interview de Monsieur Fabrice Thomas, auteur du livre Saint Laurent et moi : une histoire intime, paru début octobre 2017 aux éditions Hugo Doc, est véritablement exclusive tant la chape de plomb des médias mainstream concernant son livre choc est lourde et efficace1. Actuellement, alors que tous les médias – papier, télévision et radio – ne cessent de parler des accusations d’agressions sexuelles contre Harvey Weinstein ou Monsieur Tariq Ramadan, pas la moindre ligne n’est consacrée au livre de Monsieur Fabrice Thomas, aucune interview n’a été réalisée. On imagine que cette censure a pour cause trois points importants : on ne touche pas à Pierre Bergé qui est devenu ces dernières décennies le pape infaillible de la république ; deuxièmement, Monsieur Yves Saint-Laurent fait partie du patrimoine culturel français ; enfin, il est assez suicidaire pour ces médias de s’attaquer à Yves Saint Laurent Beauté – propriété de L’Oréal – qui représente une manne financière publicitaire très importante. À l’instar de Bernard Arnault qui n’a pas apprécié que l’on parle de ses finances dans l’enquête des « Paradise Papers » et qui a sanctionné le journal Le Monde en retirant les pages de publicité de tout le groupe LVMH dont il est le président.
Scandale. Fabrice Thomas affirme, dans un livre nauséeux, avoir été témoin d’un acte illégal dans la villa du couple, à Marrakech. Une scène qui n’avait pas choqué le couturier à l’époque.
Dans ce documentaire, nous évoquons le récit d’Audrey, victime d’une grande injustice, qui se bat pour ses enfants. Elle sera auditionnée le 2 Août, hésitez pas à partager cette vidéo au plus grand nombre afin de faire sa sécurité et aussi, que d’autre personne ait le courage de faire comme elle. Merci à vous d’avance !!!
Les cobayes de la CIA est un film historique, accusateur, et documenté sur la face occulte de ce qui s’est passé dans les années 50, 60 et 70 aux Etats-Unis. Sous prétexte de recherches sur le cerveau humain, des dizaines de milliers de personnes vont servir de cobayes non volontaires et devenir des de laboratoires au service d’un programme de recherche top secret de la CIA. Ces cobayes étaient recrutés parmi les indigents, les déshérités, dans les prisons, les hôpitaux, les casernes et même les orphelinats. But de la manœuvre : effacer la mémoire, trouver un moyen pour faire avouer un ennemi, fabriquer une machine humaine prête à tuer contre son gré.
Peter Thiel est l’un des fondateurs de Paypal et investisseur important de Facebook. Il est aussi un adepte du vampirisme médicalisé. Il est persuadé que du sang d’hommes jeunes le rendra immortel.
Le célèbre comédien et humoriste américain Bill Cosby a fait son retour au tribunal en Pennsylvanie mardi pour ce qui pourrait être la dernière étape judiciaire avant un procès au pénal pour agression sexuelle.
Pour la première fois dans le monde francophone, un livre tente d’explorer les sujets complexes que sont les abus rituels traumatiques et le contrôle mental qui en découle. Il s’agit ici d’approfondir la lourde question de la pédocriminalité élitiste, aussi appelée le pédo-satanisme.
Alors que Britney Spears traversait une très grave dépression, sa mère a opté pour une solution extrême pour suivre à la trace les pas de sa fille en lui plaçant un GPS dans l’épaule.
Ils ont longtemps été connus pour leur amour des banquets somptueux et des riches recettes. Mais ce qui est moins connu, c’est que la famille royale britannique avait également un penchant pour la chair humaine.
Un nouveau livre sur le cannibalisme médicinal a révélé que peut-être aussi récemment que la fin du 18ème siècle la royauté britannique ingérait des morceaux de corps humain.
L’auteur ajoute que ce n’était pas une pratique réservée aux monarques, mais que cette dernière était répandue parmi les gens aisés en Europe.
Invitée dans l’émission « Le Divan » de Marc-Olivier Fogiel, diffusée le mardi 2 février sur France 3, l’actrice Béatrice Dalle a fait une révélation très, très glauque. La comédienne a en effet confié que, sous acide, elle avait goûté dans sa jeunesse un morceau d’oreille découpé sur un cadavre dans une morgue.