» Pour ceux qui sont familiers des multiples sujets qui taraudent les esprits torturés des « enquêteurs » conspirationnistes, le Projet « MK Monarch » (MK pour Mind Kontrol, parait-il) est sans doute une sorte de pierre philosophale, de holly graal capable de changer le plomb en or et d’ouvrir les portes des plus sombres mystères de cette foutue planète. En effet, tout homme ou femme qui trouverait les preuves indiscutables de l’existence officielle de ce projet, de ces tenants et aboutissants serait certainement l’individu le mieux informé et le plus puissant de cette bonne vieille terre et peut-être aussi la cible la plus convoitée de tous les assassins sous influence. «
Alain Gossens alias KarmaOne, cocréateur du site Karmapolis
Dans les cultures arabes, nombreux sont ceux qui croient aux esprits malfaisants appelés « djinns ». La documentariste d’origine jordanienne Dalia Al Kury explore cet univers mystérieux et parfois dangereux.
Qui cherche à étouffer l’affaire Jacques Heusèle, cet assureur d’Arras qui s’est « suicidé » laissant derrière lui d’étranges carnets codés ? Comment Raymond Gouardo a-t-il pu violer et torturer sa belle-fille Lydia pendant 28 ans et dont six enfants sont nés de cette relation forcée sans jamais être dénoncé par les habitants du village ?
Pour la première fois (en français), un livre tente d’explorer les sujets complexes que sont les abus rituels traumatiques et le contrôle mental qui en découle.
Qui sait que l’alchimie et la Cabale juive, exploitées par les sociétés occultes et satanistes, servent au contrôle mental des masses, pour conduire les populations à l’acceptation du Nouvel Ordre Mondial et de l’antéchrist ?
Pour la première fois dans le monde francophone, un livre tente d’explorer les sujets complexes que sont les abus rituels traumatiques et le contrôle mental qui en découle. Il s’agit ici d’approfondir la lourde question de la pédocriminalité élitiste, aussi appelée le pédo-satanisme.
Jérôme Menez est l’auteur de l’ouvrage « La valse des irresponsables ». Lors de son passage sur MetaTV le 25 avril, il a abordé pendant quelques minutes le sujet du contrôle mental, autant individuel que collectif.
La protection de l’enfance, en ce début de XXIème siècle, est marquée par une régression majeure.
L’évaluation du témoignage des enfants victimes de maltraitance conclut de plus en plus souvent au déni de la réalité de ces violences. Après la mode de l’aliénation parentale et des enfants menteurs, c’est désormais le règne des « faux souvenirs ». Les parents protecteurs se trouvent d’emblée suspectés d’instrumentaliser leurs enfants, et les professionnels, qui soutiennent l’enfant, d’être partisans ou partiaux ; pendant que les auteurs s’érigent en victimes.
Le comic book est un phénomène dont on entend peu parler. Pourtant les éditions Marvel font des milliards de dollars de chiffre d’affaire et DC Comics engrange des millions grâce à des personnages comme Batman ou encore Superman. Le film Avengers est le 5e plus gros succès de l’histoire du cinéma. Si des millions de personnes se déplacent au cinéma pour regarder les aventures de ces super-héros aux pouvoir improbables c’est parce que des millions de comic books sont vendus. En réalité le comics est un organe de propagande puissant. Depuis ses débuts il véhicule des messages malsains. Ses auteurs ont des références douteuses qu’ils aiment insérer dans leurs publications. Derrière ce pseudo combat contre le mal et ces actes héroïques se cache en réalité un fond beaucoup plus sombre. D’origine juive, nous verrons que l’industrie des comics est morbide à bien des égards. L’histoire raconte que les hommes ont adoré des idoles. Ce qui fut justement dénoncé par Dieu dans la Bible. Pourtant, de nos jours il existe encore des idoles qui sont adorées par l’homme. Si ce ne sont plus des statues ce sont des acteurs, des chanteurs, des sportifs et des super-héros.
Le tabloïde britannique The Sun affirmait il y a quelques jours que le nombre d’enfants soignés aux frais de la NHS (la National Health Service) pour « dysphorie de genre » au Royaume-Uni a fait un bond de 1.000 % en cinq ans. Ils sont faciles à dénombrer, puisque seules deux cliniques, Tavistock et Portman, reçoivent des mineurs « transgenre ». En 2010, 97 mineurs y ont consulté avec leurs parents ; en 2015, ils étaient 1.013. Cette multiplication par dix est-elle le signe d’une sorte d’épidémie ? Et alors, pourquoi ? En tout cas, les responsables des cliniques se disent incapables de dire si l’augmentation va se poursuivre.
Le dédoublement de la personnalité – ou trouble dissociatif de l’identité – est souvent mal diagnostiqué : de 25 à 50 % des personnes qui en sont atteintes ont d’abord reçu un diagnostic erroné de schizophrénie.