Préambule
Le Trouble Dissociatif de l’Identité (T.D.I.) est une maladie psychiatrique reconnue par des professionnels de la santé mentale, il existe une vaste littérature médicale sur le sujet. Le DSM-5 valide ce trouble en ces termes :
Préambule
Le Trouble Dissociatif de l’Identité (T.D.I.) est une maladie psychiatrique reconnue par des professionnels de la santé mentale, il existe une vaste littérature médicale sur le sujet. Le DSM-5 valide ce trouble en ces termes :
Le laudateur du SAP, Paul Bensussan, ne peut pas rester expert judiciaire, selon cinq associations (d’après un papier de Hugo Lemonier – Mediapart)
Il y a 60 ans, un docteur américain financé par la CIA utilisait ses patientes et patients québécois comme cobayes. Les proches de ses victimes, qui ont vu leur vie brisée, entament aujourd’hui une poursuite contre le gouvernement canadien. Le documentaire MK-ULTRA : la fin du silence raconte un épisode honteux de la guerre froide qui s’est joué à Montréal et fait état des conséquences des expériences secrètes de lavage de cerveau menées à l’Institut Allan Memorial.
Morad EL HATTAB est écrivain/Géopoliticien,
Depuis 5 ans de procédures, il est aujourd’hui avec beaucoup de courage en capacité d’interpeller à visage découvert une affaire pédocriminelle qu’il vit au quotidien pour sauver ses jeunes enfants et qui questionne la DGSI et ses très graves dysfonctionnements.
Page 105 du rapport de décembre 2019 : Le traitement des plaintes pour des faits à caractère sexuel
Au cours des dernières années, plusieurs affaires médiatisées relatives à des viols et agressions sexuelles sur patients ayant conduit à la condamnation pénale de médecins, n’ont pas été traitées, sur le plan ordinal, avec la rigueur nécessaire. Ainsi en est-il des procès de deux gynécologues de la région parisienne, d’un généraliste de la région Nord ou encore de plusieurs psychiatres de la Sarthe.
Par Marie-Christine Gryson-Dejehansart.
Le ministère des Familles de l’Enfance et des Droits des femmes vient d’annoncer la prochaine publication d’une fiche sur le site du ministère de la Justice, visant à proscrire l’utilisation du concept idéologique dénommé « syndrome d’aliénation parentale » (SAP) ou « aliénation Parentale » (AP). Depuis une dizaine d’années, de nombreux spécialistes de l’enfance et du psycho-traumatisme n’ont eu de cesse d’en dénoncer la dangerosité au regard de la protection des enfants. Ils déplorent également son introduction abusive dans les milieux de la justice par le biais de son enseignement dans certaines formations de professionnels et en particulier à l’École nationale de la magistrature.
La vie familiale de Woody Allen est un véritable sac de noeuds. Entre ses enfants avec Mia Farrow et avec Soon-Yi Previn (qui est une fille adoptive de Mia) et les enfants naturels et adoptés par Mia Farrow, avec Allen, avant de le rencontrer et après leur séparation, on compte 16 enfants dans son entourage familial, dont 2 sont décédés sans vraiment d’explications claires, et 5 qui ont changé une ou plusieurs fois de prénoms. Ce qui devait donc être une simple et rapide galerie de photos voulant répertorier les expressions des visages des enfants, se transforme donc en un article un peu plus complet mais non exhaustif. La présentation des enfants est en chronologie inversée, nous allons remonter dans le temps. Mais d’abord pour y voir plus clair, voici une reconstitution généalogique des enfants d’Allen, Farrow et Previn:
Hélène Romano démontre à travers un livre écrit en compagnie d’Eugénie Izard : « Danger en protection de l’enfance – Déni et instrumentalisations perverses », les risques de manipulation et de corruption qui existent dans des histoires d’abus sexuels et maltraitances envers les enfants.
Dans les cultures arabes, nombreux sont ceux qui croient aux esprits malfaisants appelés « djinns ». La documentariste d’origine jordanienne Dalia Al Kury explore cet univers mystérieux et parfois dangereux.
La protection de l’enfance, en ce début de XXIème siècle, est marquée par une régression majeure.
L’évaluation du témoignage des enfants victimes de maltraitance conclut de plus en plus souvent au déni de la réalité de ces violences. Après la mode de l’aliénation parentale et des enfants menteurs, c’est désormais le règne des « faux souvenirs ». Les parents protecteurs se trouvent d’emblée suspectés d’instrumentaliser leurs enfants, et les professionnels, qui soutiennent l’enfant, d’être partisans ou partiaux ; pendant que les auteurs s’érigent en victimes.